Le désert refleurit !
« Jusqu’à ce que l’esprit soit répandu d’en haut sur nous, Et que le désert se change en verger, Et que le verger soit considéré comme une forêt ! » Esaïe 32/15
Il y a une promesse que Dieu fait dans sa Parole, c’est celle de nous remplir de son Saint Esprit. Esaïe nous dit qu’après des temps de désert, quand l’Esprit sera répandu d’en haut, la terre asséchée donne un verger, non pas un seul, mais une forêt de vergers.
Je ne connais pas le temps de désert que tu traverses : épreuve, recul spirituel, chute morale, maladie, oppression, pression… Mais Dieu le connait. Et ce qu’Il te dit au travers de ces paroles que tu lis aujourd’hui c’est qu’Il peut envoyer son Esprit sur toi afin que ton désert se transforme en verger !
Cette image n’est pas prise au hasard par Esaïe : Le verger, c’est un ensemble d’arbres qui portent des fruits ! Crois que ta vie peut encore porter du fruit malgré toutes les difficultés que tu connais. Pas n’importe quel fruit mais du fruit à la gloire de Dieu.
Tu n’as que deux choses à faire alors que le Seigneur t’interpelle : Lui demander pardon pour tes péchés et lui demander de répandre puissamment Son Esprit sur toi !
Dès que la paix de Dieu viendra sur toi, le premier fruit que tu porteras c’est d’avoir retrouvé la joie et la paix au milieu de tes difficultés.
Puis le Seigneur va guérir, restaurer, triompher sur tes difficultés, Il va te mettre au large, te rendre libre.
Ta vie glorifiera Dieu auprès de ceux qui t’auront vu dans le désert puis dans le verger !
Esaïe nous dit un peu plus loin dans son livre que tous ceux qui souffrent, les coeurs brisés, les captifs, les opprimés, les découragés, les endeuillés deviendront comme des térébinthes (bel arbre méditerranéen) à la gloire de l’Éternel (Esaïe 61/1-3)
Tu seras comme cet arbre que décrit l’auteur du psaume 1er, qui porte son fruit en sa saison et dont le feuillage ne se flétrit point !
Sois confiant, si le Seigneur est venu à ta rencontre au travers de cette lecture, c’est parce qu’Il veut te faire sortir en vainqueur du désert que tu traverses.
Bien fraternellement
Le Pasteur, Luc Goillot